Gilberti n’en est pas à son premier massacre : les cadavres s’enfilent ici encore comme des perles, sans que le criminel se soucie même des traces qu’il laisse derrière lui. Un seul tueur en série, mais pas de modus operandi : impossible, donc, de prévoir le coup suivant.
A moins que…
A moins que l’on ait affaire à un cinglé fanatique, un pervers du christianisme, un nouveau Savonarole qui trouve en d’anciennes traditions du XVIe siècle la justification de ses ignobles mises en scène ?
Un polar en forme de course contre une montre invisible : impossible à lâcher !