Apre monde (F. Bouysse)

Je n’avais pas lu le premier volet de La marche du rêveur (Pur sang) et j’ai été agréablement surprise par le style de Franck Bouysse.

Son héros Elias est fils adoptif d’un couple autochtone du Montana : il revient s’installer sur ses terres d’origines. Bouysse apprivoise donc les grands espaces, mais « à la française ». Son style est fluide et va droit au fait.

Le roman traite avec douceur de la solitude, de l’héritage d’un monde sauvage entre deux cultures. Mais les règlements de comptes tuent et noircissent le tableau de la cabane au Canada !

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