Sois clément, bel animal (Benjamin Planchon)

Une écriture alerte pour décrire les déboires d’un modeste écrivain dans le milieu du cinéma.

Benjamin Planchon est même cruel : le monde de l’édition, du showbiz, peuplé de bobos et de névrosés narcissiques, personne n’est épargné ! On rit des situations cocasses où se fourre son narrateur quelque peu candide.

Cela dit, on suivra avec intérêt le déroulé du tournage d’un film, côté coulisses, depuis l’écriture du scénario jusqu’au maquillage. Une part d’étrange court tout le long du roman, qui aboutit à une fin surprenante…

Un héritier de Philippe Djian ou de van Cauwelaert.

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